Jour 3 : la revanche.
Ou pas. Après un départ tardif, une prise du véhicule de location
dans une agence débordée, nous avons exploré les autoroutes portugaises. Lignes
de bitumes plus sûres que les petites routes du nord, cause d’incendies.
Ensuite, Saint GPS nous a guidé dans la campagne en marge de Barcelos. Sans
lui, ça aurait été compliqué de trouver les petites routes jusqu’à notre
nouveau point de chute : Casa dos Assentos.
Nous avons posés nos bagages et sommes partis marché dans
les montagnes et collines environnantes. Il faisait beau, c’était bien. Un
passage par le café du coin où nous avons croisés des « locaux » :
types imbibés de bière et de soleil jouant aux cartes en claquant les petits
bouts de carton violemment sur la table. Ça surprend la première fois, on se
demande s’il ‘y a pas une mouche-dragon tueuse. Nous sommes rentrés pour nous
tremper, tel des sachets de thés, dans la piscine de cette demeure du 18e
siècle et avons terminé la journée tranquillement. Le cadre est chouette, nous
avons discuté dans les jardins, croisés un hérisson et pu observer que l’église
en restauration avait une croix qui brillait d’un néon vert, telle une
pharmacie.
Réveil en fanfares !
La vierge Marie est montée corps et âme depuis longtemps, en
tout cas ses croyants font sonner carillons et cloches (à 30 mètres de la
chambre), à partir de 7h du matin, entre coupés d’aboiement de chiens. C’est
limite des alertes au bombardement. Bref, ils sont à fond dans le coin à croire
que leur dieu trop sympa pour lissé les pauvre mortels avoir un corps pourrir
sur Terre a décidé de rapatrier sa meuf corps et âme juste pour lui.
Nous allons partir visiter Barcelos. Comme je n’ai pas de
photos pour hier, je vous colle deux croquis de Porto.
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