Je suis comme beaucoup d’auteurs, mes inspirations sont des
rencontres du hasard et de la recherche.
Je crois que le déclic pour ce roman a été le documentaire Children of Leningradsky dee A. Celinski et H. Polak (www.imdb.com/title/tt0442947), un documentaire sur les orphelins russes. Des bandes de gamins que l’on retrouve au début de l’histoire.Le documentaire s'achète en ligne mais vous pouvez le trouver aussi en ligne par morceaux :
Je crois que le déclic pour ce roman a été le documentaire Children of Leningradsky dee A. Celinski et H. Polak (www.imdb.com/title/tt0442947), un documentaire sur les orphelins russes. Des bandes de gamins que l’on retrouve au début de l’histoire.Le documentaire s'achète en ligne mais vous pouvez le trouver aussi en ligne par morceaux :
Tout de suite est venu se coller mes passions pour le
voyage, le nord, et la nature. Des expériences personnelles en Scandinavie, des
ressentis, le froid… pour plus de certitude j’ai voulu me renseigner sur la
Russie, la Sibérie. L’idée étant d’être au plus proche de la réalité, tout en
restant une fiction. Il faut donc faire respirer l’air de là-bas, voir les
couleurs et humer les odeurs. Le carnet de voyage Sibérie ma chérie de Sylvain Tesson, Thomas Goisque et Bertrand de
Miollis (ed. Gallimard) m’a aidé. Des croquis, des idées jetées de la vie sur
place.
Pour Moscou, outre utiliser Internet pour m'y promener virtuellement et me documenter, j'ai pris le petit guide Moscou l'essentiel (ed. Nomades). Oui, la maison d'édition qui publie mon Laponie voage polaire, comme ça la boucle est bouclée. Pour tout vous dire, c'est là que j'ai été piocher la nourriture moscovite.
Et puis je me suis remémoré Dans les pas du renne, de Mariusz Wilk (ed. Noir et blanc). Un
roman de voyage de cet homme simple et pourtant hors du commun. J’y ai pioché
dans son vécu, sa vision de la Russie, quelques expériences et dans ses
lectures aussi. Je l’avais peut-être un ou deux ans avant de commencer la
rédaction du roman. Rien de tel pour s’y replonger que de lire Portage, un autre de ses écrits chez le
même éditeur. Mélange d’histoire et de récit de voyage. Incontournable !
De ces livres, j’en ai puisé notamment Tristia (ed. Harpo), de Mandelstam. Poète incroyable dont je suis à
l’heure actuelle en train de lire un nouveau recueil. Je ne pouvais pas non
plus faire sans Anna Akhmatova, poétesse percutante et tellement toujours
pertinente.
Enfin, comme j’écris en musique il me fallait une thématique
allant avec Johann. Pas longtemps à chercher, grâce à Internet j’ai découvert
toute une flopée de groupes de Post Metal. Au passage, depuis le temps que je ne
m’y étais pas trop intéressé, j’ai découvert l’arborescence de la
classification du Metal. Une sorte de labyrinthe digne des rayons des grands
magasins littéraire pour aider et perdre en même temps les lecteurs. Je vous
invite pour ça à lire le billet précédent sur la bande son du livre.
Tu oublies tarencontre presque yeux dans les yeux avec un tigre blanc
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